Rencontre avec Cédric, Consultant Webmarketing
Cédric, c’est un curieux de nature. Il a commencé par le commerce, bifurqué vers l’informatique, puis découvert le webmarketing un peu par hasard… et il ne l’a plus jamais lâché.
Passionné par l’idée de comprendre les gens derrière les écrans, il aime tester, creuser, et trouver l’idée qui vous fera briller sur la toile.
Quel est ton parcours ?
J’ai commencé par des études en commerce, qui m’ont donné une première vision des enjeux business. Assez vite, j’ai ressenti l’envie de me rapprocher du concret, du technique, alors je me suis orienté vers une école d’informatique en France. C’est là, un peu par hasard, que j’ai découvert le marketing digital grâce à des échanges avec des camarades de promo et des projets communs. Très vite, ça m’a passionné.
J’ai approfondi le sujet par moi-même : lectures, formations en ligne, certifications… Puis j’ai fait mes premières armes en agence, en tant que chargé de projet SEO. C’était formateur : j’y ai appris à gérer plusieurs clients en même temps, à prioriser, à tester des choses en permanence. Ensuite, je me suis lancé en freelance pour accompagner des marques e-commerce. J’y ai touché à tout : campagnes d’acquisition, stratégies de conversion, A/B testing, analyse de données… Une vraie école de terrain.
Pourquoi ce métier ?
J’ai choisi ce métier parce qu’il ne ressemble à aucun autre. Le webmarketing, c’est un mélange d’analyse, de psychologie, de créativité et de réactivité. Rien n’est figé, tout évolue sans cesse : les outils, les comportements, les algorithmes. Il faut donc être curieux, aimer apprendre et surtout, avoir le goût du test.
Ce que j’adore, c’est le côté immédiat : on voit rapidement ce qui fonctionne ou non. Et derrière chaque résultat, il y a une vraie histoire, une vraie interaction avec l’utilisateur. C’est vivant, stimulant et parfois même un peu addictif.
Quelles sont les compétences nécessaires pour devenir consultant webmarketing ?
Il faut avant tout une grande curiosité. Aimer creuser, comprendre comment les choses fonctionnent — que ce soit un tunnel de vente ou le comportement d’un internaute sur une page produit. Ensuite, il faut être à l’aise avec la donnée : savoir l’interpréter, sans en être esclave. L’expérimentation est aussi clé : accepter de tester des hypothèses, d’en abandonner certaines, de se remettre en question souvent.
Et surtout, il faut garder en tête que derrière chaque clic, il y a un humain. Comprendre ses besoins, ses freins, ses attentes, c’est le cœur du métier.
Qu’est-ce qui te plaît chez Tealforge ?
Clairement, la liberté et la confiance. Ici, chacun est autonome, écouté, et encouragé à proposer des idées, à tenter des choses. Il n’y a pas de hiérarchie pesante, mais un vrai respect des compétences. On bosse sérieusement, mais sans jamais se prendre trop au sérieux. L’ambiance est saine, dynamique, et on sent qu’on construit quelque chose ensemble. C’est motivant au quotidien.